Caran d’Ache + Klein Blue®, une rencontre autour de l’infini bleu

Depuis 1915, Caran d’Ache sublime son amour de la couleur au travers d’instruments de dessin et d’écriture d’exception. Aujourd’hui, la manufacture genevoise révèle l’Art dans sa forme la plus pure au travers d’une collection inédite Caran d’Ache + Klein Blue®. La célébration de l’un des artistes les plus étonnants de sa génération rendue possible grâce à une expertise et des savoir-faire centenaire uniques.

Caran d’Ache et Yves Klein sont intimement liés à plus d’un titre. De leur fascination commune pour la couleur et leur désir d’expression par le dessin ou l’écriture, ils mènent la même quête : célébrer le geste, la pensée et la personnalité de l’artiste.

Adoubé pour son bleu, Yves Klein multiplie les modes d’expression : il écrit à la plume ou au stylo bille, il dessine au crayon de couleur ou graphite. Une créativité débordante à l’unisson de Caran d’Ache, qui depuis des générations se renouvèle pour offrir à chacun une diversité d’outils et de nuances.

Une expertise remarquée par les archives Yves Klein, faisant de Caran d’Ache la maison capable d’illustrer la profondeur de l’IKB. Voilà sept des produits iconiques de la Maison genevoise habillés de l’infini bleu dans une collection limitée inédite : Caran d’Ache + Klein Blue® est née.

La rencontre de 7 icones autour de l’infini bleu

Pour célébrer la créativité sous toutes ses formes et pour tous les usages, ce ne sont pas moins de sept produits iconiques transformés en un espace infini. Une collection où la beauté et la puissance du bleu outremer s’entremêle avec passion au savoir-faire de la Maison Caran d’Ache afin d’offrir le plus beau des hommages à Yves Klein.

Yves Klein, né en 1928 à Nice, avait pour première vocation d'être judoka. En 1954, il se tourne définitivement vers l'art et entame son « Aventure monochrome ». Animé par l’idée consistant à « libérer la couleur de la prison de la ligne », Yves Klein se tourne vers la monochromie car c’est pour lui la seule manière de peindre permettant de « voir ce que l’absolu avait de visible ».
Dans sa quête d’immatérialité et d’infini, Yves Klein adopte le bleu outremer comme véhicule. De ce bleu plus que bleu, qu’il nommera « IKB » (International Klein Blue), irradie une vibration colorée qui n’engage pas seulement le regard du spectateur : c’est l’esprit qui voit avec les yeux.
Entre mai 1954 et le 6 juin 1962, date de sa mort, Yves Klein aura brûlé sa vie pour réaliser une œuvre flamboyante qui a marqué son époque et qui rayonne encore aujourd’hui.